Kamakura

Youpi, retour à Kamakura \o/

C’est à 1h de Tokyo par train via une ligne JR.

C’était notre première étape il y a cinq ans. J’avais adoré.

Du coup, on prend les mêmes et on recommence.

Hashiman-Gu

C’est le grand temple Bouddhiste au bout de la rue principale. Je n’ai pas pris beaucoup de photo au téléphone. En même temps le plus beau est l’intérieur et les photos sont interdites. Encore une fois il va falloir venir. Il suffit de suivre l’avenue aux lanternes …

… ou le flot de touriste, au choix. Il y a quelques sculptures sur bois, façon Nikko, vous vous souvenez  ?

Il y avait des peintures du Mt Fuji à l’époque. Aujourd’hui aussi il y avait des peintures sur le long du chemin du temple (les espèces de lanternes blanches qu’on voit sur la photo), mais sans thème précis j’ai l’impression. Très sympa à voir.

A midi, pause déjeuner. On prend du Shirasu, la spécialité. Ce sont des alevins de poisson.

Kotoku-In

Bon celui-là c’est bon, vous connaissez.

Il est toujours là, il n’a pas changé. Il est toujours avec sa pastèque. Il y a juste les touristes en plus. Bordel qu’est ce qui s’est passé  ?  On était quasiment les seuls dans les temples. Et maintenant c’est Carrefour un samedi. Même si c’est quand même plus calme à Kamakura qu’à Tokyo.

Hase-Dera

Ben oui on y est retourné aussi à celui là. C’est juste à côté. Sauf que cette fois c’est payant. Ça a changé ça aussi.

Mais bon, ce temple est magnifique et en plus, non brusqué par la fermeture, on a pris le temps de bien en faire le tour.

Vous la voyez là bas  ?  Et oui, bah vi, bien-sûr qu’on y est allé.

Alors par contre non, on ne s’est pas baigné. Il s’est passé quelque chose de plutôt drôle. Il y avait des vagues. Jolies effectivement, mais franchement … un peu ridicules. Mais voilà, visiblement, pour les maîtres nageurs, c’était trop. Alors dès que quelqu’un avait de l’eau plus haut que les genoux, ils venaient demander à la personne de sortir. Donc on s’est dit que c’était nul. Qui plus est, c’était pas franchement propre (oui encore ! Un comble pour le Japon). Alors on s’est mis en terrasse pour siroter une bière.

Arrive 17h, fin de la journée au Japon. Une annonce par haut-parleurs signale la fin du service des maîtres nageurs. Et là, un vrai film comique. Les maîtres nageurs croisaient les surfeurs, et tout le monde s’en est donné à cœur joie dans la mer.

Round One : Fight ! 

Fortes chaleurs  ? Averses ? On s’en fout, on a la solution ! On va passer l’après midi à couvert à Odaiba. Pareil, vous connaissez forcément, c’est le nom que vous avez oublié. Odaiba est est une île artificielle construite dans la baie de Tokyo. Elle est consacrée aux loisirs. On y était passé il y a 5 ans pour voir le Toyota Showroom. Qui était un peu nul soit dit en passant.

Bon, on commence par s’exploser le bide au Kushiya Monogatari. Un restaurant de Kushiage à volonté. Pour 1500¥ vous avez 90 minutes pour manger autant que vous voulez.

On prends ses petites brochettes, et on les fait frire soit même à sa table.

Bon maintenant qu’on a mangé du gras, il faut le perdre. Alors direction Round One. C’est un complexe multisports/arcade à volonté. On paye un peu moyen de 25€ l’entrée et on a 3h poir faire ce que l’on veut. A partir de 18h c’est jusqu’à 23h pour 27€. Là où on a été grave déçu, c’est qu’on a découvert ce spot via une vidéo d’Ici-Japon. Mais lui, il y a un an, pour 27€ il avait touuuuuuute la journée plus la nuit. 3h c’était un peu court.

Mais on s’est bien amusé quand même ^^

Senso-Jo

Comment bien commencer la semaine  ? En faisant un passage au temple bien-sûr. Ce lundi matin nous nous sommes rendu au temple Bouhddiste le plus connu de Tokyo. C’est ici que chaque année, les Tokyoite viennent faire la prière du nouvel an, entre autres. Le temple se trouve dans le quartier d’Asakusa. Vous avez peut être perdu le nom. Et le temple en lui même ressemble à tous les temples Bouhddiste du Japon.

Mais ça, vous connaissez forcément : 

Il fait un peu moins chaud ici à Tokyo. Et il y a un peu de vent. C’est beaucoup plus supportable. Il y a aussi beaucoup de monde, mais la mégalopole à l’habitude d’avaler un flux impressionnant de personne. On se sent donc moins les uns sur les autres. En tout cas c’est ce que je ressens.


Cette sandale est plus lourde que la statue (2,5 tonnes).